Éditorial – Alix Didier Fils-Aimé : une fermeté qui fait trembler les gangs

Éditorial – Alix Didier Fils-Aimé : une fermeté qui fait trembler les gangs

Dans un pays où l’insécurité a trop longtemps dicté sa loi, il fallait une réponse à la hauteur du défi. À la tête du Conseil Supérieur de la Police Nationale (CSPN), Alix Didier Fils-Aimé incarne cette riposte. Son action, loin d’être une simple gestion de crise, s’inscrit dans une volonté plus large : celle de restaurer durablement l’ordre et de réaffirmer l’autorité de l’État face aux groupes criminels qui ont pris en otage la République.

Les gangs, qui opéraient autrefois avec une impunité inquiétante, sentent aujourd’hui la pression d’un gouvernement qui ne cède ni à la peur ni aux compromissions indignes. Les opérations de sécurisation se multiplient, les réseaux criminels sont perturbés et la peur change de camp. Ce basculement n’est pas anodin : il traduit une volonté politique claire, celle de ne plus tolérer l’inacceptable.

Le Task Force, récemment créé par son bureau et le Conseil présidentiel de transition (CPT), a renforcé cette dynamique. Avec des actions ciblées et une coordination accrue des forces de sécurité, cette structure d’intervention rapide a porté des coups sévères aux gangs. Ses offensives, menées avec détermination, ont semé la peur au sein des groupes criminels, qui voient leur emprise sur le territoire de plus en plus contestée.

Certes, le chemin est encore semé d’embûches. Les défis sécuritaires ne se résolvent pas en un jour, et l’ampleur du mal exige des efforts constants. Mais une chose est sûre : l’action d’Alix Didier Fils-Aimé inquiète ceux qui prospèrent dans le chaos. Et c’est sans doute le premier signe d’un véritable changement

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