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Conséquence limpide d’une illusion moribonde.
S’appuyant sur le
dieu de l’occident prétendument omnipotent, omniscient et omniprésent, Après-dieu s’est laissé bercé, puis berné de ses illusions chaotiques moribondes de pensée jusqu’à déclarer qu’on ne peut ni l’empoisonner, ni l’assassiner. Croyant que ceux qui voudront sa tête, sont uniquement ses camarades esclaves de l’opposition mosaïque. Alors qu’il a oublié que le maître conformément au «Code noir» dispose du droit de vie et/ou de mort sur ses esclave, selon qu’ils l’ont plu ou déplu. Tel est l’évangile de la gouvernance servile de l’impérialisme étatsunisien et du reste du «monde occidental» dans leur procédure néocolonialiste. Amen!
Enfin, l’assassinat de cet esclave «technicien du chaos», dont la souplesse d’échine a coûté à la république la réparation de dégâts qui doivent encore s’étendre après deux générations au moins, s’inscrit dans une conception syllogistique où: Avant-dieu imposa son dieu, étant la cause selon sa propre conception, puisqu’Avant-dieu est créateur de dieu, étant sa cause [proposition majeure]. Puis, il vient nous imposer Après-dieu pour nous détruire à petit feu, en nous gardant constamment dans l’ornière enlisante de la misère, de l’insécurité pluridimensionnelle, de la corruption, du scandale et du mal-développement [proposition mineure]. Donc, Après-dieu a été assassiné sur injonction d’Avant-dieu pour n’avoir pas mis en application stricte et méticuleuse jusqu’à terme, les commandements de dieu, étant la feuille de route d’Avant-dieu [conclusion].
Car, il n’était mentionné nulle part sur la feuille de route qui lui a été remise, de recevoir lettre de créance d’ambassadeurs russes. Encore moins de trouver des relations diplomatiques avec les ennemis déclarés du maître. De tels actes sont perçus comme trahir son maître qui le livre à la dépréciation dégustative volontiers de ses chiens méchants, dociles et bien instruits du COREGROUP.
Le Tribun haïtianniste
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