Annonces
ACTUALITÉSÉditorial

Éditorial : Le photographe payé par les ennemis d’État

Un Discours KO, Bravo!

Annonces
0 0
Read Time1 Minute, 58 Second

Éditorial: Le photographe payé par les ennemis d’État

Un Discours KO, Bravo!

S’il n’y avait pas cette unanimité autour du discours du premier ministre haïtien, les agents de la déstabilisation, les ennemis de l’État payés par des oligarques et l’international, notamment la république voisine, la photo de la diversion et de la sensation aurait atteint son but.

Car de toutes les bonnes choses, de toutes les bonnes photos, le mercenaire armé de cette caméra a choisi le mauvais angle pour prendre sa photo et discréditer le représentant d’Haïti à l’assemblée de l’ONU.

Ce pays souffre d’un déficit de nationalisme depuis longtemps; et quand vous êtes face à des bandits qui n’ont ni âme, ni amis, ni patrie, la photo qui voulait discréditer le premier ministre haïtien montre clairement la méchanceté, la cruauté, mais aussi le danger que représentent ces chacals.

Heureusement pour Haïti, lancé dans un mouvement de solidarité nationale sous l’impulsion des paysans de la plaine de Maribahoux dans le département du Nord-est, le discours courageux prononcé par Ariel Henry a déjoué ce plan macabre qui consistait à détourner l’attention sur l’essentiel.

Cette photo, prise par ce photographe en mission spéciale pour les ennemis d’État, les ennemis d’Haïti avait pour mission de 1) banaliser la présence d’Haïti, 2) casser l’élan de solidarité nationale autour de la construction du canal sur la rivière massacre, 3) soulever la population, 4) provoquer une situation de tension et durcir les positions pour pourrir la crise politique.

Un agenda préparé par les mêmes politiques, les mêmes vendeurs d’armes, les mêmes sponsors des bandits, les mêmes assassins de la république.

Pour ne pas perdre la face, les chefs du photographe se concentrent maintenant sur un autre détail; même si du bout des lèvres ils reconnaissent leurs défaites, cependant ils attaquent sur un autre front; ils attendent que le premier ministre Ariel Henry passe de la parole aux actes, car son vibrant discours a dévié le piège et mis KO les hyènes qui s’attendaient à faire un festin sur leur proie, c’est à dire le Premier Ministre Ariel Henry.

Après un tel exploit, le premier ministre n’avait pas besoin de répondre au photographe, c’est donner de l’importance aux cabots qui aboient sans raisons, car c’est leur nature et leur mission, au passage d’une caravane bien chargé…

Non à la diversion.

À lire aussi :Edito: La Reconnaissance au Garage de l’ingratitude

Facebook Comments

Facebook Comments

Annonces
Afficher plus
Annonces

Articles similaires

Average Rating

5 Star
0%
4 Star
0%
3 Star
0%
2 Star
0%
1 Star
0%
Bouton retour en haut de la page