Éditorial : Le troisième larron.

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Éditorial : Le troisième larron.

“Nous n’irons nulle part dans ce Pays”,

Les deux attaques en règle menées par un ancien colonel putschiste de l’armée et une personnalité de la PRESSE toujours en tête de ligne pour soutenir tout ce qui est illégal et non conforme à la constitution ne sont pas innocentes.

C’était une nouvelle offensive des collets montés pour réaliser un nouveau coup d’État sous le couvert de la transition.

Le PM Ariel Henry représentait l’ennemi à combattre et à abattre si besoin.

Là où sont passés les deux premiers, on n’avait pas à attendre longtemps pour voir apparaître le 3ème larron.

Personne ne s’étonnera si la mafia du secteur des droits humains se mêlerait de la partie;

Ceux qui sont en face de Ariel Henry étaient dans la grande majorité fauchés, ils croulaient sous les dettes, ils avaient besoin d’argent, à l’instar de cet économiste qui avait emprunté une somme colossale à la banque; les apparences étaient trompeuses et les gens dit de bien cachaient les pires hypocrites et les salauds; malheureusement, la machine de la propagande voulait à tout prix vendre ce produit avarié, ces Gens malhonnêtes comme des citoyens sérieux pouvant sortir le Pays de la crise.

Il n’y avait plus de patriotisme.

Seul l’argent et les intérêts comptaient.

Pour ceux qui s’étaient laissés entraîner dans cette mascarade honteuse quelques temps après l’assassinat de l’ex Président Jovenel Moïse, sachez que les criminels après avoir tué une fois, n’avaient plus d’État d’âme, encore moins de sentiment d’appartenance.

Rien de ce qu’ils disent n’était teinté de sincérité, c’était des serpents qui avaient réussi à se positionner et faire de l’argent durant ces 30 dernières années par la manipulation et le mensonge.

On attend la 3ème attaque, car ils avaient faim, ils avaient des dettes, ils feront tout pour déstabiliser le pays, sauf se ranger du côté de la loi et des citoyens honnêtes pour trouver une solution négociée.

Tout ce qui comptait pour eux c’était la démission de Ariel Henry, ils improviseront après comme ils l’ont déjà fait et toujours fait.

À quelques jours du premier anniversaire de l’assassinat crapuleux de l’ex Président Jovenel Moïse, il était triste de constater comment les comploteurs n’avaient aucun scrupule, aucun remord même avec le sang sur leurs mains et leurs lèvres.

La génération future était déjà dans la merde avec ces anti nationaux qui faisaient du crime leur mode de combat.

Attention, poches vides n’avaient point de retenu, ils étaient devenus fous et enragés.

La rédaction.