Éditorial : un autre assassinat s’il vous plait…
Qui pourra dire le contraire?
L’opinion a été bien manipulée pour accepter n’importe quoi, même l’horreur.
Tous les scénarios aboutissent à un seul résultats: une explosion générale.
Et pourtant jusqu’à présent des gangs de l’opinon tirent à boulets rouges sur l’actuel Premier Ministre comme s’il était responsable des maux et malheurs de la planète.
Tout le monde savait chiffres et preuves à l’appui que les problèmes d’aujourd’hui n’étaient autre que le résultat de nos choix depuis 30 ans, de notre gloutonnerie, de notre mépris du bien-être collectif.
Ariel Henry est certes au Timon des Affaires de l’état, mais avec quelle marge de manoeuvre?
Les Ennemis du changement n’ont pas froid aux yeux quand il s’agit de défendre leurs intérêts.
La rareté du carburant, l’augmentation des prix des produits de première nécessité, l’insécurité, les kidnappings spectaculaires, tout cela faisait partie d’une stratégie, d’un plan de déstabilisation pour mieux faire des profits.
Plus rien ne sera comme avant après l’assassinat du chef de l’exécutif Haitien.
C’est un avertissement et une signature des assassins qui mettent en garde tous ceux qui voulaient prendre des initiatives en vue de changer quelque chose dans ce pays.
Il n’y avait pas beaucoup d’exercice à faire pour comprendre.
Ceux qui réclament un changement en exigeant la démission de l’actuel premier ministre n’avait aucun plan, aucune solution, rien.
Cela faisait plus d’un an depuis l’assassinat crapuleux de l’ex Président Jovenel Moïse, ou en étions-nous?
Personne n’est coupable, pire on veut passer à autre chose, même si pour cela on devrait assassiner à nouveaux.
D’ailleurs vous serez d’accord avec nous, nous étions prêts.
Sans plan, sans imagination, sans sentiment d’appartenance, nous continuons à chercher des solutions qui nous arrangent selon nos intérêts.
Comme le problème s’appelle maintenant Ariel Henry, tous les tirs sont dirigés dans sa direction.
Cessez de gaspiller votre salive, vous savez déjà que la meilleure façon de prendre la place et de casser les coffres du trésor public était d’assassiner une nouvelle fois comme vous l’aviez fait il y a de cela 1 an.
La Rédaction.
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